Préservation de l’environnement et amélioration du quotidien

Au moment de faire mes courses, à la maison, au bureau, dans le jardin… toutes les occasions sont bonnes pour adopter un des nombreux gestes qui me permettront de réduire significativement mes déchets, mais pas seulement ! En effet, certains gestes me permettront également de réaliser de vraies économies, d’autres de gagner du temps, de la place… bref de me faciliter la vie !

Alors si je peux à la fois participer activement à la préservation de l’environnement et améliorer mon quotidien : pourquoi hésiter ? C’est décidé, j’agis !

« Nos ressources en eau sont-elles inépuisables ? » conférence à l’EISCAE Etueffont

Je vous avais annoncé une conférence pour le mardi 19 Novembre, aussi aujourd’hui voilà quelques détails sur celle ci.
Elle se déroulera à l’EISCAE, grande Rue à ÉTUEFFONT à 20h
Le thème en sera: « Nos ressources en eau sont-elles inépuisables ? »
 
Elle sera animée par: Catherine Bertrand  enseignante-chercheuse à l’Université de Franche-Comté au laboratoire de Chrono-environnement.
Catherine est hydrogéologue et travaille sur l’impact des circulations des eaux souterraines en ce qui concerne le déclenchement des instabilités de versant montagneux dans une perspective de prévention des risques gravitaires…mais pas que.
Lors de cette conférence elle essayera de répondre aux questions que vous vous posez et notamment pourquoi, alors que l’on imagine qu’après un printemps pluvieux nos nappes sont rechargées au maximum, cela n’est pas forcément le cas. Nous les premiers sommes à dire au printemps:« Il pleut encore, j’espère que maintenant on ne pourra plus parler de la sécheresse de nos nappes phréatiques »

Mais est ce que la pluie, même quand elle est abondante, suffit-elle à garantir cette recharge et rendre  nos ressources en eau illimitées ?

Lorsque l’on parle de ressources en eau, on pense principalement à l’eau douce utile pour l’irrigation, les besoins domestiques ou l’industrie, et trop souvent on imagine que cette ressource naturelle est illimitée ou plutôt « renouvelable » à foison… mais qu’en est il réellement? et est ce que ces usages sont les seuls indispensables à notre environnement?

Est ce que cette abondance ne serait elle pas que relative?

Est ce que les pluies, ces apports d’eau douce, sans cesse renouvelés  par le cycle de l’eau sont réparties de manière homogène? est ce que les inégalités à la surface de la Terre ne peuvent elles pas contribuer à l’appauvrissement des nappes et ressources en raison des sur-exploitations?…avec des débits supérieurs à la vitesse nécessaire au renouvellement. Localement, c’est  donc une ressource non-renouvelable qui est exploitée! Aussi les modifications climatiques peuvent elles avoir un impact non négligeable sur ces ressources? et sur la diminution ou raréfaction de celles ci dans des secteurs où aujourd’hui elles apparaissent infinies?

Comprendre que le renouvellement global n’est pas l’assurance d’une ressource inépuisable localement, évaluer pourquoi et comment cette ressource peut tarir en affectant notre quotidien sont donc des enjeux primordiaux….

Cette conférence illustrera les approches scientifiques mises en œuvre au Laboratoire de Chrono-environnement, dans un contexte où nos usages se multiplient et entrent parfois en conflit…

Un petit pot ( à base de jus de pommes du pressoir d’ ÉTUEFFONT) clôturera la conférence pour permettre de continuer à partager ces moments de réflexion.

D’autres thèmes seront traités ultérieurement et le calage de certaines dates est en cours. Je peux néanmoins vous vous annoncer que le thème sur l’eau et le changement climatique se poursuivra avec la projection d’un film réalisé en 2019 par un couple de sportifs de très haut niveau, qui sillonnent les rivières du monde avec leurs kayaks et qui se rendent compte au fur et à mesure des « mutations » des cours d’eau affectés par les impacts du changement climatique.
Cette conférence qui aura comme support un film de 26 minutes, réalisé au Chili, en Norvège et dans le Doubs se déroulera au même endroit et à la même heure le Mardi 25 Février 2020 aura comme titre: « Rivières, Sentinelles du réchauffement »
Cette conférence sera co-organisée par la CCVS et la Maison de l’environnement du Territoire de Belfort.
Meilleures salutations.
Hervé GRISEY
Conseiller délégué à l’environnement à la CCVS

Téléthon 2019 à CHAUX

Le téléthon à CHAUX aura lieu le samedi 7 décembre 2019, de 9h à 17h au foyer communal.

Diverses activités seront proposées. Pour de plus amples informations cliquez ICI

Pour tout renseignement : Gilbert Monnier, 07 81 59 61 48 ou gilbert.monnier@laposte.fr

InfoChaux no 38 vous l’avait annoncé !!

Extrait de l’Est Républicain

Les animaux maudits, du papier au petit écran

Pour Halloween, Arte revisite cette semaine les grandes peurs, légendes et autres croyances mystérieuses, en s’inspirant d’un livre sur le bestiaire des sorcières, écrit par une Belfortaine.

Elle a les cheveux couleur de feu. Comme celles qu’on appelait jadis sorcières. C’est peut-être pour ça que Denise Crolle-Terzaghi a toujours été attirée par les histoires extraordinaires, les légendes et les mystères.

En octobre 2015, à la demande de son éditeur, elle plonge tête baissée dans « Le Bestiaire des sorcières » et les écrits du Moyen Âge à 1782. Et dissèque vingt-cinq animaux, à la mauvaise réputation bien forgée. Loup, chien, crapaud, chauve-souris, cerf ou poule ont tous le même point commun : ces animaux communs se transforment en êtres démoniaques entre les mains d’esprits maléfiques et peuvent aider, selon les croyances, à combattre les pires malédictions.

Une série animalière inspirée de son livre

« J’avais envoyé mon livre à Antoinette Spielmann-Koering, une journaliste d’Arte que j’avais eu l’occasion de rencontrer », détaille l’auteur. « Elle m’avait dit à l’époque que ça pourrait faire une belle adaptation, mais je n’osais y croire. » Pourtant, quelques mois plus tard, en avril 2016, Denise reçoit le coup de fil du réalisateur Dominique Hennequin, qui envisage de tourner une série animalière inspirée de son livre. « Il avait déjà sélectionné certains animaux parmi ceux sur lesquels je m’étais documentée et m’a demandé de faire des recherches sur trois autres, dont je n’avais pas parlé : le blaireau, le sphinx tête de mort (N.D.L.R : un papillon de nuit) et le pic noir. »

 

L’œuvre télévisée a nécessité trois ans de travail. Avec des caméramans animaliers, qui ont pisté les animaux, les ont patiemment suivis et filmés dans leur milieu naturel. Les croyances anciennes sorties de l’oubli par l’auteure de Chaux, ont été superbement mises en dessins par John Howe, le directeur artistique du Seigneur des Anneaux et le studio Mélusine basé au Luxembourg. Le rendu mêle fiction et réalité. Les commentaires sont racontés par Daïk Marah, qui signe aussi la voix off de Madonna ou Woopy Goldberg.

« Pour moi c’est comme un rêve »

« J’ai assisté à l’enregistrement de la voix de la sorcière, à Strasbourg », confie la Belfortaine. « Toutes les images ont été tournées en Moselle et j’ai découvert le résultat le 10 octobre lors de l’avant-première à Metz. Pour moi, c’est comme un rêve. C’est une vraie reconnaissance du travail fourni et avoir pu inspirer quelqu’un de talent, c’est une double récompense. » Les quatre émissions de 50 minutes sont diffusées de lundi à jeudi sur Arte, à l’occasion d’Halloween.

Campagne d’informations de la SNCF

La SNCF réalise une campagne d’information auprès des éleveurs et des communes traversées par une voie ferrée. Elle est déployée sous différentes formes :

  • Publication d’encarts presse dans les revues agricoles
  • Envoi d’un courrier personnalisé accompagné d’un flyer pédagogique aux éleveurs, associassions d’éleveurs, Mutualité Sociale Agricole, coopératives, chambres d’agriculture, mairies siutuées dans les zones identifiées « points chauds »
  • Relai de la campagne sur les réseaux sociaux et sur le site internet SNCF Réseau

Pour plus de détails, cliquez ICI puis  ICI